Royaume de Roumanie

Politique :

-Capitale: Bucarest
-Devise: Nihil sine Deo
-Hymne: Trăiască Regele
-Langue: Roumain
-Proclamation: 1881
-Monnaie: Leu (lion :stonks:) roumain

- Faction au pouvoir : Libéraux (60 points).
- Droite : Conservateurs (20 points).

Economie :

- Système économique : capitalisme libéral.
- Industrie civile : 18.
- Industrie militaire : 5.
- Dette : 12 or.

Forces armées :

- Armée : 21 divisions d’infanterie type 1920, 1 division de cavalerie hippomobile (obsolète).
- Attachements divisionnaires : 4 brigades d'artillerie.
- Flotte : 1/2 escadre légère.
- Aviation : Aucune.

Modificateurs :

- Consolidation démocratique (+1 point aux libéraux par tour) : 3 ans restant.
- Démobilisation en cours (impossible croissance) : 1 an restant.
- Lassitude de guerre : 50%.

 Sorti vainqueur de la Première Guerre Mondiale grâce à son habile filsdeputerie diplomatie, ce que l'on surnomme désormais "Grande Roumanie" (du fait de la confirmation territoriales de velléités irrédentistes roumaines) est sortie d'une guerre meurtrière (euphémisme) et destructrice, tant pour elle que pour le reste de l'Europe. Qui plus est, le Royaumes alors sorti de la Der des ders s'est engagé début 1919 dans un conflit armé afin de détruire la République des Conseils hongroise et son égérie, Belà Kun; paradant même à Budapest à la plus grande honte de nos chers voisins magyars. Dirigé par le roy Ferdinand, depuis 1914, le Royaume de Roumanie est un pays dont il faudra reconstruire l'économie, l'armée, confirmer l'influence balkanique ainsi que le pouvoir royal afin de préserver la Nation et les Balkans des perfides manigances bolcheviques , qui réduiraient à Néant ce qui fut bâti pour le pays.

Royaume de Roumanie

Affaires internes

 Au total, ce furent plus de 658 000 roumains (sourcent: british wikipedia) qui participèrent à la "Der des ders" contre les puissances centrales et la sale petite pute bulgare Prusse des Balkans aux cotés des forces de l'Entente. C'est au prix de leur sueur et de leur sang que la Roumanie est désormais ce qu'elle est: un état avec une surexpension de 125%, l'un des grands vainqueurs de cette guerre. Et la Monarchie le leur doit bien.  Ainsi, le gouvernement roumains (certes tenu par les libéraux, avec une forte frange conservatrice au parlement) lance un "fond d'aide aux blessés de guerre" est octroyé à ces derniers dans l'optique de les aider à se réinsérer dans la société civile et surtout l'emploi afin de huiler, reforger et solidifier une machine économique roumaine rudement mise à épreuve durant trois années de guerre, et ce, sans compter l'occupation par les forces de la Triplice.

...Aux tombes nouvelles

 Sur les 658 000 combattants de cet affreux conflit, entre 250 et 335 000 périrent pour la Patrie. Le devoir est de leur rendre hommage, à la mémoire de leur Sacrifice pour la Grande Roumanie. l'Etat finance donc la construction de nombreux monuments en leur honneur, mais aussi un "Jour du Sacrifice", le jour de la victoire des forces roumaines (et russes mais chut) à la Bataille de Marasesti, le 8 septembre  1917 contre les forces du général Mackensen. Ce sera donc un jour férié,  pratiquement une fete nationale, destiné à galvaniser le patriotisme d'une Nation ayant accompli ses objectifs irrédentistes (mais peut-etre lui faudra t-il plus à l'avenir...)

Affaires internes

Essor économique et et Renaissance Culturelle...

 Excellente surprise pour le bon roy Ferdinand, la sortie de l’affreuse guerre connue par le Royaume ne fut pas si problématique que prévue. C’est même un véritable essor économique et culturel qui touche la Roumanie en ce début d’année 1922. Les champs pétrolifères de Ploiesti tournent à plein régime afin de satisfaire la demande tant nationale qu’internationale et les récentes annexions de territoires autrefois asservis par une domination impériale étrangères revenus dans le giron légitime de leur Mère se retrouvent être des régions agricoles particulièrement fertiles. Les produits de Bessarabie et de Transylvanie remplissent les greniers des villes qui s’agrandissent, élargissant leur périphéries. Des villes-champignons poussent sur tout le territoire et les produits agricoles roumains se vendent à l’internationale. La Roumanie s’élance dans un stonks de PIB qui semble infini.

 Culturellement-parlant, la situation semble ravissante. Car si le retour au calme prit un certain temps, il est simple de constater que dans les grands centres urbains du pays, nombre de cabarets, lieux de vie et de société prolifèrent, rendant fiévreuse la vie nocturnes de la Paris des Balkans. Musicalement, c’est aussi l’envolée. Les récentes compositions de Vlad Coruptescu, jeune artiste prometteur et vétéran du dernier conflit font grand bruit dans les cercles de la Haute Société. Certains disent que la Roumanie “renaît des cendres du Traité de Bucarest” et le Roi Ferdinant place de grands espoirs, allant jusqu’à rêver que son pays ne devienne une puissance européenne de premier ordre.

….Mais Naissance de Mouvements Contestataires

 L’apparition de mouvements syndicalistes inquiète les autorités. S’ils sont peu nombreux et sous contrôle, leur potentielle montée en popularité du fait de la victoire des rouges à l’Est ne laisse supposer rien de bon si jamais la situation économique venait à changer dans les années à venir. Si le gouvernement ne fait pour l’instant rien de majeur, il regarde d’un oeil inquisiteur cette nouvelle vague, autorisant la gendarmerie à surveiller les principaux chefs et cadres des groupes le composant. Et tout particulièrement Gheoghe Salarescu, dirigeant du mouvement “Travailleurs de Roumanie”, qui semble le plus populaire de tous (si l’on peut parler actuellement de popularité.